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Veeam’s guidance for customers affected by CrowdStrike’s content update

Selon une étude Veeam, les entreprises renforcent la protection moderne des données pour les workloads dans le cloud afin de minimiser les risques liés à la cybersécurité

Le rapport Veeam Cloud Protection Trends pour 2023 met en lumière les raisons qui motivent les dirigeants IT à modifier les stratégies, les fonctions et les méthodes relatives à la production et à la protection des workloads hébergés dans le cloud

Colombus, Ohio – le 4 novembre 2022 –Veeam Software, leader de la protection moderne des données, dévoile les conclusions de son Cloud Protection Trends Report 2023 qui s’intéresse à quatre scénarios « as-a-Service » essentiels : IaaS (Infrastructure as a Service), PaaS (Platform as a Service), SaaS (Software as a Service) et BaaS/DRaaS (Backup as a Service / Disaster Recovery as a Service). Comme le révèle l’enquête, les entreprises ont conscience de la nécessité de protéger leurs environnements SaaS ; près de 90 % des clients Microsoft 365 prennent, par exemple, des mesures de sauvegarde supplémentaires au lieu de se reposer uniquement sur les capacités intégrées de reprise d’activité après sinistre. Se préparer à une reprise d’activité rapide après une éventuelle cyberattaque, par ransomware ou un autre vecteur, est la principale raison citée par les entreprises pour expliquer la mise en place de ces sauvegardes, suivie de près par la conformité à la réglementation.

Principales conclusions du rapport :

  • Il est surprenant de constater que, même si de nouveaux workloads voient le jour dans le cloud à un rythme bien plus rapide que celui auquel les anciens workloads sont décommissionnés dans le datacenter, 88 % des sondés effectuent une migration retour de certains workloads depuis le cloud jusque dans leur datacenter pour différentes raisons, notamment le développement, l’optimisation des coûts ou des performances et la reprise d’activité après sinistre.
  • Alors que les menaces qui pèsent sur la cybersécurité (y compris les ransomwares) demeurent un sujet d’inquiétude majeur, les stratégies de protection des données ont évolué et la plupart des entreprises ont tendance à déléguer la responsabilité de la sauvegarde à des spécialistes, plutôt que d’exiger des personnes responsables de chaque workload (IaaS, SaaS, PaaS) qu’elles protègent elles-mêmes leurs propres données. La majorité des sauvegardes de workloads dans le cloud est désormais effectuée par une équipe dédiée à la sauvegarde. De plus, elles ne nécessitent plus l’expertise d’un spécialiste et n’ajoutent plus à la charge de travail des administrateurs cloud.
  • Aujourd’hui, 98 % des entreprises exploitent une infrastructure hébergée dans le cloud dans le cadre de leur stratégie de protection des données. Le DRaaS est perçu comme dépassant les avantages tactiques du BaaS, en offrant une expertise dans le domaine de la planification, de l’implémentation et du testing de la continuité d’activité et de la reprise d’activité après sinistre (BCDR). Une telle expertise est considérée comme l’un des principaux différenciateurs par les abonnés qui choisissent leur fournisseur de solution BaaS ou DRaaS sur la base de leur connaissance, des architectes IT dont ils disposent et de l’assistance opérationnelle dans la planification et la documentation des stratégies de BCDR.
  • Malheureusement, comme c’est souvent le cas pour les nouvelles architectures hébergées dans le cloud, certains administrateurs PaaS présument incorrectement que la durabilité native des services cloud les affranchit de la nécessité d’avoir recours à la sauvegarde : 34 % des entreprises interrogées ne sauvegardent pas encore leurs partages de fichiers hébergés dans le cloud et 15 % d’entre elles ne sauvegardent pas leurs bases de données hébergées dans le cloud.

« L'adoption croissante des outils et des services qui s’appuient sur la puissance du cloud, renforcée par le recours massif au télétravail et aux environnements de travail hybrides, a mis sur le devant de la scène l’informatique hybride et les stratégies de protection des données dans tous les secteurs, » déclare Danny Allan, CTO and Senior Vice President of Product Strategy chez Veeam. « Alors que les menaces liées à la cybersécurité continuent de s’intensifier, les entreprises doivent regarder au-delà des services de sauvegarde traditionnels et adopter l’approche spécifique qui correspond le mieux à leurs besoins et à leur stratégie cloud. Cette enquête montre que les workloads continuent à migrer de manière fluide depuis les datacenters vers le cloud et inversement, ainsi que d’un cloud à l’autre – ce qui accentue la complexité des stratégies de protection des données. Les conclusions de cette étude dévoilent que, même si les entreprises IT modernes ont fait des progrès considérables dans les domaines du cloud et de la protection des données, il reste encore du chemin à parcourir. »

Les conclusions du Cloud Protection Trends Report 2023 de Veeam incluent :

Software as-a-Service (SaaS) :  

  • 90 % des entreprises sont conscientes du fait qu’elles ont besoin de sauvegarder leurs données Microsoft 365. Le rapport révèle que seule 1 entreprise sur 9 (11 %) ne les protège pas – une majorité encourageante (89 %) a recours à des solutions de sauvegarde tierces ou BaaS, ou bien à des tiers améliorés de Microsoft 365 pour la conservation des données à des fins juridiques, voire aux deux.
  • Étant donné que les stratégies de protection des données ont évolué et que les ransomwares continuent de représenter un sujet d’inquiétude majeur, la plupart des entreprises délèguent la responsabilité de la sauvegarde à des spécialistes, plutôt que d’exiger des responsables de chaque workload (IaaS, SaaS, PaaS) qu’ils se chargent de protéger eux-mêmes leurs propres données. Cela démontre l’évolution de la sauvegarde, qui devient un composant classique dont la responsabilité est dévolue à l’administrateur de sauvegarde conventionnel et non à l’équipe en charge des applications.

Infrastructure as-a-Service (IaaS) : Même si des entreprises de toutes tailles adoptent désormais des architectures cloud hybrides, il ne s’agit pas d’un parcours à sens unique vers le cloud et cela ne remet pas en cause la nécessité de disposer d’un datacenter moderne.

  • 30 % des workloads hébergés dans le cloud sont issus de stratégies « cloud first», en raison desquelles de nouveaux workloads voient le jour dans le cloud à un rythme bien plus rapide que celui auquel les anciens workloads sont décommissionnés dans le datacenter.
  • 98 % des entreprises exploitent une infrastructure hébergée dans le cloud dans le cadre de leur stratégie de protection des données, y compris sous la forme de tiers de stockage dans le cloud, d’une infrastructure cloud en tant que site de reprise d’activité après sinistre ou de solutions émanant de fournisseurs BaaS ou DRaaS.
  • 88 % des entreprises ont effectué une migration retour de certains workloads depuis le cloud vers le datacenter pour différentes raisons (développement, optimisation des coûts ou des performances, ou encore reprise d’activité après sinistre) – ce qui met en exergue la nécessité de mettre en place des stratégies pour 2023 qui garantissent une protection cohérente des données et une capacité à migrer les workloads, alors que ceux-ci sont transférés du datacenter vers le cloud, du cloud vers le datacenter et d’un cloud à l’autre.
  • La majorité des sauvegardes de workloads dans le cloud sont désormais effectuées par l’équipe en charge de la sauvegarde. Elles ne nécessitent plus l’expertise de spécialistes et n’ajoutent plus à la charge de travail des administrateurs cloud. Toutefois, même si presque toutes les entreprises reconnaissent avoir des obligations réglementaires de conservation des données à long terme, seule la moitié d’entre elles conservent des sauvegardes de leurs données dans le cloud pendant un an ou plus.

Plateform as-a-Service (PaaS) : Même si la plupart des entreprises ont initialement transféré et déplacé leurs serveurs depuis le datacenter vers des solutions IaaS, la majorité s’accorde à dire qu’exécuter des scénarios IT fondamentaux, tels que les partages de fichiers ou les bases de données, en tant que services cloud natifs représente l’avenir des workloads IT matures :

  • 76 % des répondants exécutent des services de fichiers au sein de serveurs hébergés dans le cloud et 56 % d’entre eux exécutent des partages de fichiers managés depuis AWS ou Microsoft Azure
  • 78 % des sondés exécutent des bases de données au sein de serveurs hébergés dans le cloud et 65 % d’entre eux exécutent des bases de données managées depuis AWS ou Microsoft Azure

Backup and Disaster Recovery as-a-Service (BaaS/DRaaS) : Presque tous les environnements IaaS ou SaaS exploitent également des services cloud dans le cadre de leur stratégie de protection des données sous une forme ou une autre.

  • 58 % des entreprises utilisent des solutions de sauvegarde managée (BaaS), tandis que 42 % exploitent le stockage dans le cloud dans le cadre de leur solution de protection des données auto-managée. Il est particulièrement intéressant de noter que près de la moitié des entreprises (48 %) ont commencé par mettre en place un stockage dans le cloud auto-managé pour finalement se tourner vers des solutions BaaS.
  • Presque toutes les entreprises (98 %) déclarent utiliser des services cloud dans le cadre de leur stratégie de protection des données ; ceux-ci varient du stockage dans le cloud sous forme d’entrepôt de données à des services complets BaaS et DRaaS.
  • Les solutions BaaS sont principalement prisées pour les gains opérationnels et l’efficacité économique qui les caractérisent, mais également parce qu’elles permettent de surmonter les sinistres et les attaques par ransomware. Il est intéressant de noter qu’elles ne sont plus perçues comme « la fin de bandes », comme les premiers commentateurs le prédisaient. En effet, les entreprises dévoilent que près de 50 % de leurs données sont toujours stockées sur bandes au cours de leur cycle de vie, quelle que soit l’utilisation qu’elles font des services de protection des données basés dans le cloud.
  • Le DRaaS est perçu comme dépassant les avantages tactiques du BaaS, en offrant une expertise dans le domaine de la planification, de l’implémentation et du testing de la continuité d’activité et de la reprise d’activité après sinistre (BCDR). Une telle expertise est considérée comme l’un des principaux différenciateurs par les abonnés qui choisissent leur fournisseur de solution BaaS ou DRaaS sur la base de leur connaissance, des architectes IT dont ils disposent et de l’assistance opérationnelle dans la planification et la documentation des stratégies de BCDR.

Le rapport de cette année révèle un revirement majeur, alors que les clients sont de plus en plus intéressés à l’idée d’externaliser la sauvegarde et de bénéficier d’un service de gestion « clé-en-main » ou « tout-en-un », plutôt que d’exiger du personnel en interne qu’il continue de gérer l’infrastructure BaaS. Ce tournant semble indiquer que les entreprises ont davantage d’expérience avec les fournisseurs de solutions et que la confiance dont ceux-ci bénéficient se renforce. Il pourrait également s’expliquer par les difficultés relatives au recrutement de talents IT rencontrées au cours de l’année écoulée. 

Le rapport Veeam 2023 sur les tendances de la protection du cloud, issu du rapport annuel de Veeam sur les tendances de la protection des données, est le résultat d’une enquête menée par un cabinet tiers qui a interrogé 1 700 dirigeants IT impartiaux issus de 7 pays (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Japon, Australie, Nouvelle-Zélande) sur leur utilisation des services cloud, à la fois pour des scénarios de production et de protection des données afin d’offrir la vue d’ensemble unique la plus large concernant les tendances en matière de stratégies hybrides sur l’ensemble des entreprises IT modernes dans le paysage numérique cloud-first actuel. Cette vaste étude de marché a été réalisée dans le but de mieux comprendre les différents points de vue, responsabilités et méthodologies concernant l’opération et à la protection des workloads hébergés dans le cloud, ainsi que les éléments pris en considération lorsqu’une entreprise s’appuie sur la puissance du cloud pour protéger ses données.

Télécharger la version détaillée du rapport Veeam 2023 sur les tendances de la protection du cloud sur https://vee.am/CPT23. Pour en savoir plus, visiter le site Internet www.veeam.com/fr.

À propos du rapport

Veeam a mandaté un cabinet de recherche indépendant pour réaliser cette enquête à l’automne 2022. Le rapport se fonde sur les réponses de 1 700 dirigeants IT impartiaux et concerne leur utilisation des services cloud à la fois dans des scénarios de production et de protection des données. Des personnes représentatives de chaque scénario ont été interrogées afin que les différences de point de vue entre les différentes persona, ainsi que les raisons qui ont motivé le choix d’une stratégie et de méthodologies de sauvegarde soient tous pris en compte.

Il s’agit d’une vaste étude de marché qui porte sur les entreprises qui exécutent au moins un workload de production dans un cloud (IaaS, PaaS ou SaaS). L’enquête a été réalisée au nom de Veeam dans le but de mieux cerner les points de vue, responsabilités et méthodologies des différentes persona concernant l’opération et à la protection des workloads hébergés dans le cloud, ainsi que les éléments pris en considération lorsqu’elles s’appuient sur la puissance du cloud pour protéger les données.

À propos de Veeam Software

Veeam est le leader de la protection moderne des données. La société offre des solutions de sauvegarde, de restauration et de gestion de données à travers une plateforme unique pour les environnements cloud, virtuels, physiques, SaaS et Kubernetes. Ses clients ont ainsi l’assurance que leurs applications et données sont protégées contre les ransomwares, les catastrophes et les acteurs malveillants grâce à la plateforme la plus simple, flexible, fiable et puissante du marché. Veeam protège plus de 450 000 clients dans le monde entier, dont 81 % des entreprises du Fortune 500 et 70 % du Forbes Global 2000. Veeam possède son siège social à Columbus, dans l’Ohio, ainsi que des bureaux dans plus de 30 pays. Son écosystème mondial regroupe plus de 35 000 partenaires technologiques, revendeurs et prestataires de services, ainsi que des partenaires au sein d’alliances. Pour en savoir plus, consultez le site www.veeam.com ou suivez Veeam sur LinkedIn @veeam-software et Twitter @veeam.